French 2201: Digital Portfolio 2

Le suivant est une histoire fictive décrivant la vie d’un etudiant haïtien dans les jours et les mois après l’ouragan Sandy en Haiti en 2012.

C’était (1.2) le matin du 30 octobre 2012 quand je suis (1.2) arrivé à ma classe de maths à l’Université d’Etat d’Haïti à Port-au-Prince. Nous avions (1.2) juste commencé le semestre le mois dernier quand la catastrophe a frappé et notre monde est venu à fin ; aujourd’hui les classes résumaient après plusieurs jours. Quand le cyclone a frappé, j’étais au Mexique rendant visite à un de mes amis qui y vit. J’ai eu plus de la chance : qui sait ce serait passé si j’étais en Haïti! Cependant, pas tout le monde était aussi chanceux que moi, malheureusement (2.3) beaucoup de gens que je connais et que j’aime se sont blessés ou sont morts.

L’Université n’était pas le meme lieu qu’il était avant la catastrophe. Parce que j’était en retard, j’ai marché vite (2.3) dans le corridor en route à ma classe. L’air était sombre, tranquille, et lugubre. Il y avait rien que silence d’être entendu, et les murs étaient decorés avec des photos d’élèves qui morts dans l’ouragan. Quand je suis arrivé, je me suis assis (2.1) dans ma chaise normale ; le endroit à côté de moi était vide. C’était le chaise de Natalie, mon amie d’enfance. Elle devait venir avec moi au Mexique, mais elle devait rester parce que ses mère était malade. À cause de l’ouragan Sandy, les téléphones ne fonctionnaient pas et j’ai voulu la voir et partage avec elle tout sur mon voyage.

Nous avons commencé la classe mais nous avons été interrompu par une annonce est venu à partir du haut-parleur. La voix du la secrétaire de le président de l’université a rempli la salle.

Tout le monde s’il vous plaît va à l’auditorium. Tous les étudiants et tous les professeurs doivent aller à l’auditorium. Toutes les classes ont été annulées.

Personne dit rien. Nous avons pris silencieusement (2.3) nos livres et nos calepins et nous sommes allés à l’auditorium. Nous nous sommes assis (2.1) dans les chaises et nous avons attendu le président. Il est entré l’auditorium et a marché vers le microphone a l’avant l’auditorium. Il était un grand homme, avec les cheveux courts (2.2) argent. Il avait une voix sombre et profonde et a parlé lentement (2.3) et doucement (2.3) d’un ton de tristesse.

“Mes amis, mes chers étudiants et mes professeurs bien-aimés. Aujourd’hui est un triste jour. Aujourd’hui, nous sommes ici parce que notre pays a vu une grande perte. Notre famille a souffert une grande douleur. Notre amis, notre fils, notre filles ont été prises loin de nous dans cette horrible tragédie. Partout le pays, les gens souffrent. Notre pays a vu une catastrophe après l’autre. Nous avons des gens qui essaient (1.1) de réparer leur vies après le tremblement de terre de 2010. Et maintenant, nous avons un autre catastrophe, et plus de gens qui sont morts (2.2) ou sont blessés (2.2).

Mais nous pouvons, non, plutôt, nous devons essayer (1.1) de ne jamais l’espoir! Demandez-vous, qu’est-ce qu’ils ont voulu ? (1.3) Nos amis perdus ne voudraient pas nous abandonner tout ou d’arrêter nos vies. Aujourd’hui, nous assemblons ici de rappeler nos amis mais aussi de rappeler que nous avons quelque chose qu’ils n’ont pas. Cette semaine, notre pays a perdu 60 de ses enfants bien-aimés, et notre école a perdu sept : Théophile Duguay, Philippine Belrose, Léopoldine Traver, Doriane Vipond, Natalie Dufour —”

Je n’ai plus entendu. Natalie! Ma voisine, ma camarade de classe du primaire au lycée! Mon amie d’enfance! Morte! Je ne pouvais plus respirer. Je suis tombé de mon siège, je me suis précipité à mes pieds et j’ai couru, sans voir, sans entendre vers la porte. J’ai laissé mes choses et je n’ai pas remarqué tout le monde me regardant. Si j’ai fait, je n’aimais pas.

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